M'allonger
la tête sur ton oreiller
Te parler à voix basse
Imaginer ton corps près de moi
Son poids sur les draps
Ta chaleur tes grains de peau
Éparpillés dans le lin du lit
Enserrer ta taille ma tête posée contre ton épaule gauche
Mon coeur en miette
Âme en tourment en vrac en eau en larmes
Tendre le bras pour t'appeller
Tinter à ton poignet au bout de tes doigts
Aimé doux aimé amour absolu
Au bras du temps je marche hésitante
Peu importe la douleur
Ce qui fut
Ce qui aurait pu être
Ton amour au mien infini
Et sans fin...
Lau.